NON AUX MACHEFERS STOCKES A LA ROQUE - 06

je suis rudologue et consultant en risques industriels, les préfets font le forcing pour "sécuriser" les décharges sauvages (voir OREEAT), afin de s'affranchir d'un retrait et d'un traitement éventuel.

le rsique est patent, jusqu'en 2006, les machefers ont été souvent mélangés à des REFIOM (cendres d'incinération) extrêment impactantes qui sont stockées normalement en classe I, les circuits sont respectés depuis la contamination à la dioxine  (affaire de Gilly),  les machefers sont des déchets admissibles en classe II et non en Classe III. les REFIOM partant en classe I.

Ils ne peuvent être "valorisés" comme le prétend M. Lamy en sous couche qu'après inertage, et analyse.

En l'état, ces déchets sont admissibles qu'en ISND de classe II, vous avez raison d'éxiger des carottages pour définir la caractéristique du produit et son "fond chimique", les protocoles de mise en place de piezzomètres sont très précis, le préfet ne peut autoriser le stockage in situ, qu'après la  pose de ceux ci en aval et en amont hydrolique, et l'exploitation des données, une procédure qui prend une année.

N'ayiez crainte de déferer le Préfet au TA, pour procédure non conforme au droit, et non respect du principe de précaution inscrit dans la Constitution

Ecologiquement vôtre

Hamel