Pétition pour le maintien de l'Ecole de LANAYE

Nous, habitants de Lanaye et des environs, parents, grands-parents, enseignants, anciens élèves, citoyens engagés, demandons solennellement le maintien de l’école de notre village.

Parce que notre école offre un environnement pédagogique idéal pour les enfants. 

L’école communale de Lanaye offre un cadre à taille humaine, sécurisant, idéal pour le suivi individualisé des enfants. C'est un lieu où les enfants peuvent évoluer sereinement, avec des trajets courts, sans fatigue inutile, le tout dans une ambiance propice aux apprentissages.

Mais aussi parce que notre école est bien plus qu’un lieu d’apprentissage.

Elle est le cœur vivant de notre village frontalier, un espace d’éveil, de socialisation et de transmission des savoirs, où nos enfants s’épanouissent dans un cadre humain, familial et proche de la nature.

Parce que sa fermeture serait une catastrophe pour notre communauté. 

Elle entraînerait la disparition d’un service public essentiel, l’allongement des trajets scolaires et la perte de lien social. Cela affecterait aussi l’attractivité de Lanaye pour les jeunes familles, ce qui contribuerait au déclin inexorable de la vie du village. Une école qui ferme, c’est un village qui s’éteint.

Parce qu’il existe des alternatives à la fermeture.

Des solutions d’organisation, des mutualisations intelligentes avec les communes voisines, ou des projets éducatifs innovants peuvent et doivent être envisagés pour assurer la pérennité de notre école.

Nous refusons de rester silencieux face à cette décision.

Nous demandons à Madame la Bourgmestre, aux membres du Collège et du Conseil communal, de revenir sur le projet de fermeture de l’école de Lanaye.

Parce que maintenir l'école de Lanaye, c'est affirmer une politique publique de proximité, de justice territoriale, de justice sociale et de développement durable. C'est un choix stratégique, socialement juste et politiquement visionnaire pour la commune de Visé.

Signez cette pétition pour soutenir notre école et affirmer que l’avenir de nos enfants passe aussi par nos villages.