URMITE: laissez nous travailler !
(French translation below)
URMITE: let us work!
Hello, In January 2018, I will take the direction of one of the two "daughter" URMITE UMRs: VITROME, while Michel Drancourt will take the lead of the UMR MEPHI. Moreover, it is not a simple division of the URMITE. Each UMR has enriched itself with new teams, which broaden our fields of competence (with the arrival of an Inserm team of human and social sciences for example), and our research fields with the Louis Malardé Institute in Polynesia. We will be fully involved in the missions of the Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection, managed by Didier Raoult, who will host our UMRs with others.
In recent months, the successful opening of the IHU Méditerranée Infection has been marked by events that bring some thoughts. In this extraordinary adventure, much of our time has been consumed to respond to many attacks, inspections or controls, in particular against the URMITE.
If we put things in perspective, the URMITE has produced 2,500 articles for 5 years under the direction of Didier Raoult, who became the most cited European author in the field of Microbiology. After Didier Raoult, Michel Drancourt and I are the most important SIGAPS producers of the CHU over the past 5 years (this score is linked to the quantitative and qualitative production of scientific publications and reports funding to the CHU). All these bibliometrics elements, and many others, are public and accessible by everyone. We welcomed nearly 1,000 students, post-docs and scientific visitors. The visibility and the reputation of our teams are no longer to be done.
However, at the instigation of some people, the URMITE, its director and therefore all of us, have been attacked in recent months, on staff working conditions, harassment or sexual harassment… by anonymous denunciation, without previous discussion, without specific fact reported, without proof...
For more than 20 years, as a student, a researcher or as a team director of the URMITE, I have no recollection of any case of staff complaining about working conditions or harassment. If this was the case, no one would understand that the concerned people do not ask to move. I have met and supervised only enthusiastic students, happy to be in the URMITE and whose work has opened to them the doors of research in France or in their country; only engineers, researchers, proud to belong to this group, where it is true we work hard. There may have been discontented or inadequate students whom we have not kept, but it is on the margin. I have not, on the other hand, the memory of a staff representative or union representatives, reporting to the director or teams leaders a discomfort about the working conditions, or some legal proceedings concerning the harassment.
The enthusiasm of being in the IHU is general, although, like all relocations, the transition may have generated concerns and efforts for everyone.
We underwent a joint inspection of several CHSCTs, triggered by anonymous letters, during the IHU days that celebrate the success of our students.
Representatives of our administrative departments came to observe the working conditions. We were hoping for the end of this episode, but it goes on, since an engineer from URMITE, with no scientific production, contacts former students to get negative testimonials about the URMITE. Some members of the CHSCT during the recent visit also did everything possible to obtain negative testimonies from students who came to see us, worried, and to complain about it. Who harasses who?
I think that's enough...
I asked the teams directors of the future VITROME UMR to ensure that, the personnels who feel that working conditions at the IHU are not satisfactory, ask their administration another assignment and do not join the unit or the other UMRs of the IHU in January 2018. I also asked them to report to me (using the usual way: category representative, union, councils) the problems that can happen (as in any unit or institution), to solve them.
But in the meantime, let us work!
I am not a usual follower of the petitions, but if it can be useful so that we can concentrate on our missions, I suggest that if you either, work or have past worked in the URMITE, you sign this petition as a support to the URMITE, the IHU Méditerranée Infection, and its future UMRs.
Professeur Philippe PAROLA, IHU Méditerranée Infection, Marseille, France
Bonjour à toutes et tous,
Je prendrai en janvier 2018 la direction d'une des deux UMR "filles" de l'URMITE, VITROME, tandis que Michel Drancourt prendra la direction de l'UMR MEPHI. Il ne s'agit d'ailleurs pas d'une simple division de l'URMITE. Chaque UMR s'est enrichie de nouvelles équipes, qui élargissent nos champs de compétence (avec l'arrivée d'une équipe Inserm de sciences humaines et sociales), et de nos terrains de recherche avec l'Institut Louis Malardé de Polynésie. Nous nous inscrirons pleinement dans les missions de l'Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection que dirige Didier Raoult, et qui accueillera nos UMR avec d'autres.
Ces derniers mois, qui ont vu l'ouverture avec succès de l'IHU, ont été marqués par des événements qui amènent quelques réflexions. Dans cette aventure extraordinaire, une grande partie de notre temps a été consommée à répondre à une multitude d'attaques, d'inspections ou de contrôles, notamment à charge contre l'URMITE.
Si nous remettons les choses en perspectives, l'URMITE a produit 2500 articles depuis 5 ans sous la direction de Didier Raoult, qui est devenu le chercheur européen dont les publications ont été les plus citées par la communauté scientifique internationale dans le domaine des Maladies Infectieuses. Après Didier Raoult, Michel Drancourt et moi-même sommes les producteurs de SIGAPS les plus importants du CHU sur ces 5 dernières années (ce score est lié à la production quantitative et qualitative des publications scientifiques et rapporte des financements aux CHU). Tous ces éléments de bibliométrie, et bien d'autres, sont publics et accessibles par tous. Nous avons accueilli prés de 1000 étudiants, post-docs et visiteurs scientifiques. La visibilité et la renommée de nos équipes n'est plus à faire.
Cependant, à l'initiative de quelques uns, l'URMITE, son directeur et donc nous toutes et tous, avons été attaqués ces derniers mois, sur les conditions de travail des personnels, le harcèlement au travail du personnel, le harcèlement sexuel… Par dénonciation anonyme, sans discussion préalable, sans fait précis relaté, sans preuve…
Depuis plus de 20 ans, comme étudiant, enseignant chercheur ou chef d'équipe de l'URMITE, je n'ai le souvenir d'aucun cas de personnel se plaignant des conditions de travail ou de harcèlement… Si c'était le cas, personne ne comprendrait que les concernés ne demandent pas à changer d'Unité… Je n'ai rencontré et encadré que des étudiants enthousiastes, heureux d'être dans l'URMITE et dont le travail leur a ouvert les portes de la recherche en France ou dans leur pays; que des personnels, ingénieurs, chercheurs, fiers d'appartenir à ce groupe, où c'est vrai nous travaillons dur. Il y a pu avoir des mécontents ou des étudiants au niveau insuffisant que nous n'avons pas gardé, mais c'est à la marge… Je n'ai, d'autre part, pas le souvenir de représentants syndicaux ou de représentants du personnel, rapporter au directeur ou aux chefs d'équipe un mal être concernant les conditions de travail, ni de démarches judiciaires concernant le harcèlement.
L'enthousiasme d'être dans l'IHU depuis cette année est général, même si comme tous les déménagements, la transition a pu générer des inquiétudes chez certains et demander des efforts à tous.
Nous avons subi une inspection de plusieurs CHSCT, déclenchée par ces lettre anonymes, le jour où nos fêtions la réussite de nos étudiants lors des journées de l'IHU… Cela devait mettre fin à cet épisode puisque des représentants des tutelles sont venus se rendre compte de la réalité. Mais cela continue, puisqu'un ingénieur de l'URMITE, à la production scientifique inexistante, contacte d'anciens étudiants afin d'obtenir des témoignages négatifs sur l'URMITE. Certains membres des CHSCT lors de la récente visite ont également tout fait pour obtenir des témoignages à charge de la part d'étudiants qui sont venus s'en plaindre et s'en inquiéter. Qui harcèle qui ?
Je crois que cela suffit…
J'ai demandé aux différents chefs d'équipe de la future UMR de s'assurer que les personnels qui estiment que les conditions de travail dans l'IHU ne sont pas satisfaisantes demandent à ne pas rejoindre VITROME et les UMR de l'IHU, et demandent à leurs tutelles une autre affectation. Je leur ai demandé également de me faire remonter par la voie habituelle (représentant de catégorie, syndicat, conseils,…) les problèmes qui, comme dans toute unité ou institutions, pourront arriver, afin de les résoudre.
Mais en attendant, qu'on nous laisse travailler…
Bien que n'étant pas un adepte des pétitions, mais si cela peut être utile afin que nous puissions nous consacrer à notre mission, je vous propose, que vous travailliez actuellement dans l'URMITE, ou que vous y ayez travaillé par le passé, de signer cette pétition comme un soutien à l'URMITE, l’IHU Méditerranée Infection, et ses futures UMR.
Professeur Philippe PAROLA
IHU Méditerranée Infection, Marseille, France
Professeur Philippe PAROLA - IHU Méditerranée Infection Contacter l'auteur de la pétition
L'auteur de cette pétition a clos cette pétition.Annonce de l'administrateur de ce siteNous avons supprimé les informations personnelles des signataires.Le règlement général sur la protection des données de l'Union européenne ( RGPD) exige que le stockage des informations personnelles soit motivé par une raison légitime et que ces informations soient conservées le moins longtemps possible. |