Pétition en faveur de Raja Benslama et pour les libertés en Tunis

Dieu nous veut libre et créatif, dans l'amour et le respect de chacun , la vie est un beau cadeau ne la détruisons pas , chacun a sa place dans ce monde et ce monde n'appartient à personne nous ne sommes que des locataires et devons le rendre comme Dieu nous la créé

longue vie aux associations libres et à celles et ceux qui en témoignent!

Honneur aux Tunisiens combattant l'obscurantisme et l'oppression. Nous sommes nombreux ici à approuver et à soutenir leur lutte.

ns ns battrons sns arret pour la liberté des droits de l homme en tunisie et pour garder le statut de la femme tunisienne!!!

Haroun Bouazi , tunisien vivant au Québec, proclame sur les ondes de radio canada que ce sont les féministes qui ont confisqué la révolution en Tunisie. Très grave affirmation. Connaissez-vous ce monsieur qui minimise la violence islamiste même après l'assassinat de Chokri Belaid.
imenaila

Contre tout intégrisme et pour plus de justice, que la lumière soit faite .

MC Steinmetz.

Insupportable idée que de se faire poursuivre pour ses opinions...Courage Mme Benslama

je pense que nous sommes arrivé à un tournant décisif sinon grave des agissements de certaines politiques qui entravent toutes formes de libertés intellectuelles et d'opinions qui cloisonnent l'élite en l'assignant à se soumettre et à se résigner aux seules volontés des pouvoirs souvent pervers et douteux et pour lesquels nous devons trouver la manière subtile de remédier et surtout de se protéger contre ce nouvel ordre mondial qui n'inspire point assurance et sécurité.

IL FAUT QUE TOUS LES CITOYENS TUNISIENS SE DRESSENT ENSEMBLE CONTRE LA DÉRIVE DU FASCISME QUI INSTRUMENTALISE LA RELIGION.

avec tout mon soutien

Il faut surtout changer les juges en Tunisie, un bon coup de balai dans le système judiciaire nous fera le plus grand bien!

Non au terrorisme intellectuel sous toutes ses formes et à la violence.
Oui à la liberté de pensée.
Toute ma solidarité avec le docteur Raja Benslama.

Les atteintes aux droit de l'Homme en Tunisie sont intolérables... là comme ailleurs! il faut sans cesse se battre pour ça.

Croire qu'un dieu doit dicter leur conduite aux hommes c'est se comporter en petit enfant qui à besoin d'un papa, c'est rester infantile.
C'est figer le monde à ce qu'il était il y a des siècles, c'est refuser l'évolution et l'adaptation, c'est donc refuser la Nature (que soit-disant dieu aurait créé... !).
En réalité l'intégriste religieux n'aime pas la vie, il préfère la mort (la sienne ou celle des autres) plutôt qu'abandonner ses idées obscurantistes, il est incapable d'auto-critique, c'est une faiblesse absolue qu'il cache par la violence et l'adhésion à la dictature.

les libertés civiles sont indispensables pour la santé d'un pays! c pas un luxe c une nécessité!

Intimidation grossière des élites qui refusent le projet obscurantiste d'El-Nahdha!

Je suis solidaire de Raja pour la liberté d'expression des peuples.

Le mandat d’amener contre l’universitaire Raja Ben Slama a été retiré jeudi, jour où elle devait comparaître devant la justice pour « propos diffamatoires » à l’encontre de l’élu du Mouvement Ennahdha à l’Assemblée nationale constituante et rapporteur général de la Constitution Habib Khedher.

Le juge d’instruction a fixé une audience pour le 5 avril prochain, a déclaré Me Abada kefi, avocat de la défense.

DI/TAP

Pour les respect des droits de l'homme et de la liberté d'expression.

Nous sommes tous Raja Ben Slama

elle est nécessaire.

Sans liberté de penser ,et liberté de conscience,
aucun avenir pour un peuple et aucun progrès ,ce n'est cela l'ISLAM du calife EL mamun et d'IBN rochd?
Le meilleur moyen de respecter l'ISlam est de le sortir des débats politiques.

Libertes d'opinion et d'expression :

http://lecaennaisdechaine.over-blog.com/article-expression-53281243.html

Libertés d'opinion et d'expression :

http://lecaennaisdechaine.over-blog.com/article-expression-53281243.html

"C'est une longue lutte historique qui continue, entre d'une part une force rétrograde, passéiste, armée de sa culture de la mort, avec sa violence, sa négation de l'autre, sa pensée unique, sa couleur unique, son souverain unique et sa lecture unique du texte sacré, et d'autre part la pensée qui plaide l'humain, qui évolue dans une perspective plutôt relativiste, laquelle voit dans la Tunisie un jardin à mille fleurs et autant de couleurs, qui autorise la divergence dans la diversité mais régie par les vertus civiques, pacifiques, démocratiques."
Chokri Belaid - 23 janvier 2012 (Nessma TV)

Le procès pour délit d'opinion intenté contre Raja Ben Slama, et sur la base de lois rendues caduques par la révolution tunisienne, n'est plus ni moins qu'un acte de terreur d’État dirigé contre un symbole, et non des moindre, de la résistance intellectuelle du pays.

Il s'inscrit dans le prolongement de ce travail de sape par lequel la taupe islamiste tente de neutraliser depuis deux ans le bastion universitaire tunisien. Les campagnes salafistes contre les doyens de plusieurs facultés, dont celui de Manouba Habib Kazdaghli, les sordides campagnes de diffamation puis les poursuites judiciaires orchestrées contre ce dernier, n'étaient que les premiers paliers de la sourde entreprise qui se poursuit avec ce nouveau procès.

Ce que les islamistes visent à travers Raja Ben Slama s'inscrit dans la droite ligne de leur sale guerre engagée, bien avant même les élections d'octobre 2011, contre la cervelle de la Tunisie. "Listes noires" d'intellectuels et auteurs à abattre, faute de pouvoir les vacciner contre la pensée, ennemis jurés du projet islamiste à harceler où qu'ils soient debout, à traîner dans la fange, faute de pouvoir les mettre sur la "bonne voie", volailles de basse-cour, dans les passages cloutés annonçant l'émergence du califat.

Dans les divers épisodes de cette incessante chasse aux sorcières visant les politiques, les artistes, les journalistes, les médias qui refusent de s'aplatir devant la dictature naissante des islamistes, après l'escalade des violences conduisant à l'assassinat de Chokri Belaid le 6 février dernier, le procès intenté contre cette irréductible résistante de la pensée éclairée tunisienne, outre qu'il ne peut que susciter l'indignation des femmes et hommes libres de ce pays, n'affectera en rien la détermination de ceux-ci à poursuivre la lutte contre les ennemis jurés de l’intelligence humaine.

A. Amri
1er mars 2013