Soutien à Dieudonne


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2014-02-26 18:10

Tout à fait d'accord avec Daniel Brianchon et Dominique Sweetman. Aujourd'hui les valets de nos dirigeants, bleus ou roses, ont seuls le privilège non pas de caricaturer, avec un humour parfois dérangeant, mais carrément d'insulter en public une personne précise, à l'exemple d’un ancien président. Président qui se permettait d’asséner devant les cameras " pauvre con" à l'un de ses con-citoyens.
Ces oligarques sans respects des valeurs, égalité, justice, fraternité, qui s'augmentent avec nos impôts et se distribuent en familles les 9000 places de hauts fonctionnaires, en sont arrivés à vouloir nous donner des leçons de conduite, et à nous dicter une pensée commune. (Rêveraient-ils de nous imposer ce que vit la Corée du Nord?)
Faut-il aussi que nous prenions exemple sur eux: en plaçant nos petits revenus dans un paradis fiscal? en abusant de la faiblesse d'une vieille rentière? en faisant entretenir notre maîtresse au frais de l'état? en profitant d'une position hiérarchique pour soumettre les plus faibles à nos appétits sexuels? et pour les plus pervers en sévissant dans un réseau pédophile protégé, comme celui de l’affaire Dutroux que le courageux député belge Monsieur Laurent LOUIS ose dénoncer aux risques de sa vie? ( http://www.youtube.com/watch?v=elL43pZM15Q#t=1021)
Cette décision du Conseil d'Etat fait froid dans le dos lorsqu'on sait qu'elle va faire jurisprudence, et ainsi va pouvoir permettre une censure sans précédent de la liberté de penser et de parole. Le top départ vient d'être donné sur internet par la suppression du site de cet artiste dérangeant. Artiste à <> à écouter certains de nos médiats disciplinés et fort payés qui ont le droit sur antenne, d'insulter. A qui le tour de subir cette censure protectrice, protectrice non pas des valeurs de notre République, mais de cet affairisme politico-financier qui met en danger nos démocraties?
Ce bras d’honneur à tous ses oligarques qui nous prennent pour des pigeons, des vaches à lait, nous traitent de con devant les caméras, cachent leurs promesses jamais tenues derrière un écran de fumée, se transforme à travers leur vision déformée en « un signe hitlérien », pour détourner notre attention de leur turpitudes et de la corruption qui minent nos institutions.
Celui qui se moque faute d’en pleurer, de ceux par qui nos institutions se pourrissent, est-il devenu un criminel plus odieux que celui alerté de cas de corruption précis qui troublent l’ordre public, spolient les familles, protègent des réseaux pédophiles, détruisent nos enfants, alors qu’il a tous les pouvoirs pour agir mais ne fait rien?
GB