Doit-on, comme dans beaucoup de situations dans ce pays qui part à vau-l'eau, aller jusque dans les extrêmes? Puisqu'apparemment, à l'heure actuelle, il n'y a plus que cela qui fasse avancer. Peut-être alerter la presse. Après tout, la médiatisation de cette affaire fera peut-être que Milan sorte et rejoigne sa famille qui l'attend.

#20: -  

 On va sans doute en arriver là, effectivement.

Françoise

#20: -  

 VOUS AVEZ PARFAITEMENT RAISON !!! Nous risquons d'avoir ( comme depuis des lustres !....)  le choix entre la peste et le choléra. Sans être alarmiste,  s'il n'y a pas une réaction forte, justifiée par l'urgence à tous les stades, nous glissons vers une situation calamiteuse (en marche depuis les années 1978 et suivantes). LE SORT DE CE PAUVRE MILAN NE DÉPEND QUE DE NOUS TOUS, ET DE L'UNION DE TOUTES LES ASSOCIATIONS DE LA CAUSE ANIMALE ,  (jusqu'à présent, le constat = nos "politiques" = OO!!! de quelque bord que ce soit) il faut donc que nous  fassions bouger les choses énergiquement. Quant à la presse ( écrite et/ou télévisuelle ), les gros titres dépendent des Rédacteurs en Chef...selon la sensibilité du journal et du nombre des tirages ou des chiffres de l'audience, c'est tout dire !!! d'autant que les sujets déferlent tous azimuts. JE CROIS QUE MILAN DOIT D'ABORD COMPTER SUR NOUS.