« En vérité, chaque religion a une moralité, et la moralité de l’Islam c’est la pudeur ».

Je pense que la pudeur est l’attitude naturelle de celui ou celle qui s’interdit le mal, et plus fondamentalement le laisser-aller, car le laisser-aller provient de l’arrogance et l’arrogance est la racine du mal. De ce fait, celui qui la pratique apparaitra souvent comme une personne polie, sans même que la religion ne soit connue.

Au lieu de parler des femmes et des foulards, on ferait mieux de s’en tenir à ce qui est commun à tous. Pratiquer la pudeur c’est agir d’abord sur son corps : en ce qui concerne la bouche, s’interdire de prononcer de gros mots, de parler à voix haute, de médire ou de colporter des ragots, faire attention à ce que l'on dit en tenant compte de l’autre. Avec ses yeux, s'interdire de regarder ce qu’Allah réprouve, ne pas fixer les gens. Avec les oreilles, ne pas chercher à écouter ce qui ne nous regarde pas. Avec les doigts, les bras ou les pieds, ne pas trop gesticuler, ne pas faire de gestes sales, ne pas se tenir n’importe comment. C'est d'exercer un contrôle sur soi. La pudeur, c'est aussi la dignité, le respect, la modestie, l'humilité, la générosité.

Le Coran est basé sur les concepts de la bonne moralité, de l'amour, de la compassion, de la miséricorde, de l'humilité, du dévouement, de la tolérance et de la paix. Un musulman qui vit selon ces préceptes moraux est raffiné, réfléchi, tolérant, digne de confiance et obligeant. Il offre l'amour, le respect, la paix et une joie de vivre à ceux qui l'entourent.

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Donc, pour toutes ces raisons, vous êtes contre le permis de conduire gratuit pour les immigrants.

Ça va, on a compris !