En cette fin d'année, tout se passait bien.

Notre fils venait de recevoir son diplôme (même symbolique) de fin d'année et nous venions de le ré-inscrire pour l'année prochaine à la piscine du domaine et nous faisions même de la pub auprès d'amis pour qu'ils inscrivent leur fils... Quand la nouvelle est tombée.

Et là, branle-bas de combat.

- Primo. Quid de notre inscription? Réponse simple, il faut tout refaire. Pas de transfert automatique sur d'autres cours vers la piscine voisine (de la même société!!). Pire, pas de cours suplémentaires prévus ou anticipés pour accueillir les adhérents de la piscine du domaine... Etes-vous concurrents à ce point?

- Secundo. Arrivée à la piscine voisine... Notre enfant n'est pas prioritaire, ou si, pardon, prioritaire "en second" sur des cours déjà remplis (c'est si bizarre que les enfants se réinscrivent?)

- Tertio, ah bah tiens, 10% d'augmentation au passage. D'un tarif de 292€ à la piscine du Domaine pour une réinscription, on passe à 321€.

- Et Quattro. Quid de l'équipe si sympatique qui connaissait si bien notre enfant, son niveau, ses forces et faiblesses vis à vis de l'eau et son histoire dans son parcours aquatique? Merci et au revoir.

Ce jour, la réponse de la piscine Inoxia de Chateaugiron vient de tomber... malgré notre statut de "prioritaire"... Plus de place.

Les autres piscines aux alentours ne nous ont pas attendus non plus et ont fait le plein, résultat: NOTRE FILS N'IRA PAS APPRENDRE A NAGER L'ANNEE PROCHAINE. Lui qui avait eu du mal à littéralement se jeter à l'eau mais qui demandait depuis quelques mois à aller à la piscine, ca fait mal...

Pour des gens qui voulaient développer l'éducation à la nage, BRAVO!

Nous sommes dans l'incompréhension. Pourquoi une décision si brusque? Le bâtiment n'est, certes pas, de première jeunesse , mais ce n'est pas nouveau. N'était-il pas possible de prendre les devants, et informer vos CLIENTS soit bien avant les réinscriptions, soit faire un an de plus (le bâtiment n'est pas non plus prêt à s'écrouler) et laisser l'année pour s'organiser pour nous autant que pour vos équipes qui se retrouvent sans emplois? Nous sommes sidérés par cette brutalité.

Vous venez de décevoir notre enfant et nous mettre en colère au passage.

MERCI A VOUS MESSIEURS LES DECIDEURS POUR CES BONNES NOUVELLES POUR L'ETE.

#102: J. SERVAES - La quadruple peine