Touche pas à mon hosto; centre hospitalier Michel Mazéas DZ

pour les soins de proximité, comme le commerce de proximité, l'économie de proximité...

j'y ais été soigné,avec beaucoup d'efficacité et d'humanité.RÉSISTANCE!

Etant native de DZ je signe la pétition car il m'arrive de rendre de temps en temps

Cet ete ns avons eu besoin de ns rendre au urgence pour notre fils ns avons ete tres bien pris en charge des gens humains avec de gdes competences.je suis une touriste mais quk peut vs dire que ns avons ete traite avec une qualite de service comme on en rencontre raremrnt actuellement dans certaines regions merci encore a ces gens devoues ns vs soutenons

La fermeture des hôpitaux publiques de ^proximité risquent d'allonger non seulement les temps d'attente, mais cette absurdité risque de rallonger quelque peu les distances entre les grands centres et les patients. Beaucoup d'ambulances sont actuellement équipées pour palier à une partie de cette attente liée à la distance. Mais est ce suffisant ? Il faut savoir que le personnel ambulancier, qu'il soit privé ou publique, est bien plus restreint que ne l'est le personnel hospitalier.
Evidemment que le fait d'employer plus de personnel qualifié dans l'hôpital publique risque d'augmenter les impôts de manière exponentielle, étant donnés les coûts que cela entraîne. Un grand centre hyper équipé, et qualifié est préférable, en terme de rapport qualité prix, et de sécurité. Je pense pour ma part que cette question de rentabilité et de statistiques quand à elle reste à étudier quand aux notions de priorité qu'est celle de la santé de tous.
Si les hôpitaux publiques de proximité ne peuvent accueillir une logistique exhaustive pour des question de taille de surface et de coût, il n'en reste pas moins que ces services sont indispensables en terme de prises en charge quand aux premiers soins qu'il faut effectuer, souvent dans des cas d'urgence
Si l'on étudie un temps soit peu ce qu'il se passe en terme de médecine de proximité en Scandinavie, ou au Royaume Uni, qui s'est doté du meilleur service urgentiste au monde, tout laisse à penser que ces pays ont su faire la part des choses en terme de priorité. il est vrai que ces pays sont de tradition fédéralistes. La tradition fédéraliste réorganise une distribution plus ajustée des financements en fonction des priorités. Ce que nous n'avons pas en France.
Tout système centraliste, et cela Jurgen Habermas l'explique très bien, vise à tromper l'opinion publique en lui faisant croire que toutes les lois votées prennent en compte les voies de cette dernière, et ce via le caractère représentatif que le pouvoir dit incarner. Ces lois votées représentent donc l'intérêt général dit-on. L'opinion publique s'en trouve donc totalement culpabilisée.
Si la France avait eu une tradition fédéraliste, c'est à dire de déléguer la redistribution financière via plusieurs pôle autonomes de gestions, les impôts régionaux, ou locaux pourraient être quelque peu élevés, mais certainement moins que sous un système cloisonné qui redistribue les financement de manière circonscrite, et ce, à partir d'un seul pôle de gestion, ce qui fait que les impôts augmentent de façon drastique.
En France, l'administration est si opaque, si cloisonnée que nous ne connaissons pas toutes les réalités qui s'y trament au niveau de la gestion réelle de ses finances, et par conséquent, nous ne possédons pas non plus une idée exacte, en terme d'apports de faits réguliers, sur les relations qu'entretient cette même administration avec les banques. En parlant des banques, je parle de la dette, et des prêts bancaires qui créent des taux d'intérêts colossaux, et engendrent d'immenses bénéfices qui pourraient entretenir et permettre de faire vivre les services publiques de proximité
Le rapport de coût rentabilité sous couvert que les grands centres restent préférentiels en terme de logistique, va entraîner de surcroît un risque de privatisation du système de santé. Cette privatisation, provoquée dans un premier temps par les suppressions de services, et risque de mettre en cause les acquis sociaux et faire du système de santé Français, un système de classe.
En bref, ce pays qu'est la France, a voulu se doter d'un système social via des ambitions entretenues durant la deuxième guerre mondiale, sans prendre en compte les fondements, les traditions, les modes sociaux et politiques liés à son Histoire, et qui régissent la France depuis le début du XVIII ème siècle

inhamissible que les ostos ferme au fur a mesure ce sont des centre d urgence je trouve

Parce que la santé n'est pas une marchandise mais un droit dont personne ne doit ni ne peut être privé

voici deux risques , augmentation des frais de transports en cas de disparition de l'hôpital celà n'est pas négligeable , il faudrait probablement augmenter le nombre d'ambulances des pompiers .

Mais ce n'est pas le plus grave en cas d'accident (noyades nous sommes une station balnéaire , colision , a v c , infarctus , détresse respiratoire , ) augmentation du temps d'intervention du samu puisqu'il se trouverait à quimper .

Donc les technocrates c'est une chose la réalité en est une autre .

TOUCHE PAS A MON HOSTO

Il faut maintenir les services publics de proximité,à commencer bien sûr par un hôpital comme celui de DZ...
Originaire du Cap Sizun ,et ayant eu des membres de ma famille ,douarnenistes ,hospitalisés dans cet hôpital( ,bien nommé "Michel-Mazéas"-il l'avait tant voulu-) ,je peux témoigner de la qualité des soins et de l'accueil.

Conservation et respect des biens et de l'histoire des localités. Conservation des équilibres locaux.

Le bien nommé Hôpital Michel MAZEAS. En 1979, j'étais présente à l'inauguration : j'avais 8 ans à l'époque,  j'étais accompagnée de mon grand-père.  La visite du bloc opératoire en présence de Monsieur MAZEAS reste un très grand souvenir.

Nous devons tout faire pour que tous ces combats ne soient pas vaint et que l'hôpital de Douarnenez continue ce qu'il a toujours fait... avec des médecins et un personnel très à l'écoute.

 

Nous devons tous nous mobiliser pour garder un service de qualité et de proximité !!!

Vos signatures comptent.

je soutiens le centre hospitalier de Douarnenez , car il est indispensable pour sa proximité dans le Cap Sizun

#4: -  

 Pour y avoir été en urgence et peut-être vivre encore grace à cet hopital , signons pour sa survie

Nous avons besoin d'un centre hospitalier de proximité, nous sommes au bout du monde, et ce n'est pas un jeu de mot. On veut déjà empêcher certains médecins de venir au Faou. On va finir par se faire soigner par le premier Druide qui traîne.

Nous savons que la sécu est en difficulté, mais je suis certain que le Français tiens à cette institution, quitte à payer plus d'impôts.
Nous faisons marche arrière. Tout disparaît, alors s'il vous plait pas les hôpitaux.

cet hôpital de proximité ne doit pas fermer ses portes!!!

tous ensemble ,défendons notre hopital

devons garder cet hopital

Cet hospital doit rester ouvert , ne créez pas de désert médical dans un secteur si excentré!

Garder notre hôpital de proximité Le personnel est a notre coté De tres bons chirurgiens Des Anesthésistes a vos cotés lors d une opération Merci a tout le Personnel NOUS AVONS BESOIN DE L HOPITAL DE DOUARNENEZ QUIMPER C EST UNE USINE TROP GRAND PAS DE CONTACTS PROCHES AVEC LE PERSONNEL PAS LE TEMPS HELAS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je signe pour que les efforts des agents consentis depuis des années ne soient pas vains, pour le maintien d'une chirurgie de proximité, pour mes anciens collègues et les douarnenistes, capistes qui défendent l'hôpital.