RER-B

Voilà une très bonne idée qu'il faut largement faire connaitre à tous ceux qui empruntent le RER B. Trop d'usagers méconnaissent encore les causes réelles de leurs soucis quotidiens. Ras le bol d'être transportés comme du bétail et de ne pas pouvoir compter sur ce moyen de transport si appréciable.

#1: -

Je ne pense pas que cela soit une bonne idée de ponctionner encore une fois les entreprises parce que les salariés seront peut-être à l'heure, mais ils n'auront plus de travail si leur société met la clé sous la porte.

Mieux vaut chercher à faire les bonnes dépenses (pourquoi rénover les vieilles rames à prix d'or, en faisant ressortir de la poussière d'amiante en plus, au lieu de maintenir du personnel en place ? Une vieille rame entretenue n'est-elle pas suffisante ?), et à utiliser les recettes tirées de la vente des billets et des projets à l'étranger.

je travail à Massy depuis 2007 et c'est vrai que le RER B se degrade de jour en jour. Aucune information ou alors des fausses informations et même des informations incoherentes d'une station à une autre (RATP et SNCF). Tous les jours il se passe quelque chose, ralentissement, arrêts supplementaires, problèmes materiels, malaises de personnes, etc..... De plus je prends une correspondance gare du nord (Ligne H), il faudrait que je prenne au moins deux trains avant pour cette correspondance. je ne peut pas me permettre de quitter plus tôt mon travail, ce que j'ai fait il y a deux ans et j'ai eu des remarques de ma hierachie, ce qui a impliquer un stress supplementaire et un blocage dans mon deroulement de carriere professionnel(prime d'objectif annuel, promotion et augmentation de salaire)de ce fait je rentre très tard à mon domicile, ce qui implique un bouleversement dans ma vie personnelle et familiale.
Donc pour moi c'est une atteinte à mes droits, au respect de ma vie personnelle et familiale et à mon droit au repos.
Conclusion: M Jean-paul HUCHON président du conseil régional d'Île-de-France et son equipe font que tout est fait pour que rien ne bouge.

Les retards sur la ligne B sont effectivement un vrai problème pour conserver son emploi qd on doit l'utiliser tous les jours.

Tous les jours (matin et soir) il y a des problèmes sur cette ligne.
Nous sommes pris en otage. Très souvent l'arrêt des trains n'est pas expliqué.
Si les agents sont fatigués il y a des gens motivés qui sont à la recherche d'un emploi stable.
je signe cette pétition en vu d'un changement positif sur cette ligne qui nous dessert plus qu'autre chose.
Bien à vous
ML LOUISE

#12: -

Je rejoins dès que vous lancez les actions pour le respect des usagers. Car ce manque de considération n'est plus tolérable.

De plus nous payons notre transport, nous devrions nous mobiliser pour prendre la ligne (et régler notre transport) uniquement si tout va bien ou sinon nous fraudons. de toutes les façons il n'y aura pas assez de contrôleurs pour verbaliser.

#2: -  

 Bravo pour cette initiative. Sera t-elle entendue par les autorités concernées : Etat, SNCF, RATP, STIF, Conseil régional ?

Contrairement aux discours lénifiants des uns et des autres, les transports en Ile de France n'avancent pas mais reculent.

Le problème n'est pas de savoir s'il se fait des choses mais de savoir si ce qui se fait est à la hauteur des besoins. La réponse est clairement non.

En cinquante ans, en Ile de France, le temps et la durée des trajets domicile-travail ont doublé. Voilà la réalité et elle ne tombe pas du ciel !

Une seule zone, voilà une bonne proposition.

N'oubions cependant pas que des millions de franciliens habitant en grande banlieue ne sont pas desservis par les transports collectifs. Les mesures répressives qu'ils subissent parce qu'ils doivent utiliser au moins partiellement leur voiture pour leurs trajets domicile-travail sont insupportables.

Salariés d'Ile de France unissons-nous.

#1: -  

Pour une région qui se veut la première destination touristique mondiale, il faut absolument éviter aux touristes d'avoir à utiliser le RER B.

Arrivée à Roissy, il leur faudra le plus souvent faire une queue d'un quart d'heure avant d'obtenir un billet. Ensuite, ils devront franchir les portillons dignent des entrées de prison pour accéder aux quais. On trouve cela qu'à Paris.

Ensuite, après être entrés dans des trains jonchés de journaux, s'ils ont des valises un peu volumineuses et qu'il y a du monde dans les wagons, ils devront sans cesse déplacer leurs bagages pour permettre les entrées et les sorties.

Selon le hasard du trafic, il leur faudra souvent changer de quai, de train ou prendre un bus de remplacement pour cause de travaux.

Heureux, ils arriveront enfin à leur hôtel, ils auront découvert leur premier site touristique de France: le RER B !